Barnich est d'abord un toponyme (nom d'un lieu) : c'est celui d'un petit village à la frontière du Grand-Duché, qui, aggloméré avec celui d'Autelbas, fait maintenant partie de la commune d'Arlon.
La première mention du patronyme BARNICH, datée de 1388, a été trouvée dans une Charte du Couvent de Clairefontaine, près d'Arlon. Il y est dit que le "Chevalier Heinrich von Barnich" a fait une donation au couvent "pour le salut de son âme et celle de son épouse".
Selon Mr Junger, ancien instituteur de Barnich-Autelbas, ceci est une interprétation de l'Abbé Goffinet, s.j., qui, n'étant pas germaniste, aurait confondu le terme "Ritter" (chevalier) avec celui de "Richter" (justicier). Heinrich, un habitant du hameau de Barnich, n'aurait alors été qu'un exécuteur des hautes et/ou basses oeuvres du Seigneur de l'endroit, le Sire d'Autel!La mention suivante du patronyme BARNICH apparaît lors du Dénombrement des Feux de 1473. Johan Barnich y est cité comme bourgeois aforain de la Ville d'Arlon.
- Un "Dénombrement des Feux" était une sorte de recensement des ménages, pour asseoir l'assiette de l'impôt, c'est à dire, répartir les charges fiscales imposées pour "l'aide au Seigneur" de l'époque, Charles le Téméraire, Duc de Bourgogne.
- Le bourgeois aforain d'une ville était un marchand résidant hors les murs de la cité mais à qui avait été donné le droit de dresser un étal les jours de foire ou de marché
Dans l'ouvrage "Le Rhin" qui rassemble les lettres qu'il a écrites lors de ses voyages successifs en Allemagne, Victor HUGO cite l'histoire d'un écclésiastique assez expéditif : "En 1471, Jean Barnich, Chapelain de Saint-Goar, empoisonne avec le vin de la communion sa maîtresse, la comtesse de Katzenellenbogen; l'électeur de Cologne, comme son évêque, l'excommunie, et, comme son prince, le fait brûler vif." ("Le Rhin", V.Hugo, T.2, p.22 et 49, ed. Ch.Pirot, St Cyr, 1996)
Ensuite, en 1550, on trouve des BARNICH à Beckerich; ils y sont cités lors de mariages avec des Eyschen, etc... A Remich, une chronique paroissiale révèle que Michel BARNICH avait signé une convention "pour remonter les horloges du château"
Vers 1635, lors de l'intensification des combats entre les Français et les Impériaux (nous étions alors la propriété des Habsbourg d'Espagne, Empereurs d'Allemagne), ceux-ci avaient amenés des troupes recrutées en Pologne et en Croatie. Ces dernières troupes vécurent sur la région pendant 3 ans, se comportant comme en pays conquis. En 1636, en plus des ravages de la guerre, la région connut une intense épidémie de peste.
Selon Tandel, un enfant, abandonné par les troupes croates battant en retraite devant une attaque française, fut adopté par le curé de Barnich, qui lui donna le nom de sa paroisse. Ne parlant ni le français, ni l'allemand, ni le dialecte local, l'enfant s'enfuit et fut recueilli à Stockem. Il y aurait, dit-on, fondé la famille qui porte son nom; fait démenti cependant par plusieurs auteurs, et par les mentions précédentes antérieures aux faits...
Ce qui, finalement, est tout à fait possible : des familles de même nom peuvent cohabiter sans pour autant avoir un quelconque lien de parenté! Il faut également ajouter que des abonnés aux téléphones viennois, ayant des racines croates, portent le patronyme "Barniç", qui se prononce Barnich!...Les premiers registres paroissiaux apparaissent vers 1630/1650. A partir de cette époque, on voit quatres branches BARNICH dont on trace les racines dans la région située entre Luxembourg-Ville et Arlon.
A partir de 1685-1690, à la lecture des Registres Paroissiaux d'Arlon, on voit qu'il y a une forte population de BARNICH, dont des bourgeois: Martin BARNICH est cité dans un acte de 1693, année où il soumissionna et emporta le marché de la réparation de la charpente de l'Eglise St Martin à Arlon. Son frère Mathias est reçu comme bourgeois de Luxembourg en 1684. Un des petits-fils d'Henry installa un moulin à papier à Freylange. Un autre est meunier à Nothomb-Tontelange, un autre à Hachy; (notez que cette "sous-branche", dite d'Attert-Nothomb, se connecte fortement avec la famille Gaul!). Georges ZIMMER mentionne que ces Barnich d'Arlon occupèrent également les moulins d'Eyschen, de Hobscheid et d'Oberpallen
La branche de Septfontaines essaime alors vers la Vallée de la Semois: on voit en effet en 1693, Henry BARNICH (fils aîné du précédent?) aller se marier à Chassepierre avec Denise HACQUES. Il reviendra cependant à Septfontaines en fin d'année pour y être le parrain du premier fils de son frère Michel... Dans cette région de la Semois, (dont le noyau citadin est la ville de Florenville) le patronyme va prendre des formes francisées: Barnique et Bernique... (bien que plusieurs personnes aient émis des doutes quant à la véracité de ces liens entre BARNICH, BARNIQUE et BERNIQUE, la suite des actes de naissance, mariage et décès des Registres Paroissiaux et le l'Etat-Civil de la région démontre à suffisance la filiation vers les BARNICH/BARNIG de Septfontaines...)
Vers 1750 commencent alors les migrations: bien qu'on n'ait pu encore trouver de mentions de BARNICH au Banat (Province de l'Empire Autrichien), on sait que de nombreuses familles partirent vers le Sud de l'Allemagne, et, par le Danube, gagnèrent Vienne pour se répartir ensuite dans les terres récemment libérées de l'occupation turque. En gros, le Banat se situe aux confins de l'actuelle Roumanie, de la Hongrie et de la Bessarabie. Hasard, coïncidence? une famille Barnich originaire de Hongrie et émigrée en Iowa, a longtemps entretenu de la correspondance avec des "parents Ukrainiens". En fait, grâce à une enveloppe retrouvée aux Etats-Unis, on a pu déterminer qu'il y a toujours de la descendance BARNICH dans la "Veretskaïa Pass" qui mène de la Hongrie vers l'Ukraine à travers les Carpathes... Des lettres ont même été échangées en 1995!
Après les grands bouleversements de la Révolution Française, on retrouve des BARNICH à Bouillon: Jean Baptiste Barnique y a été officier de Napoléon, (il a participé à la Bataille de WAGRAM comme Sous-Lieutenant au 6e Rgt de Cuirassiers; la blessure au combat qu'il y encouru nécessita l'amputation de sa jambe et sa réforme) et sera à la tête du détachement d'Honneur lors de la visite de l'empereur dans sa ville; ensuite, il sera commandant de la Garde Bourgeoise de Bouillon lors des événements de 1830! C'est d'ailleurs à ce titre, comme nous le révèle un acte notarié, qu'il reçut la reddition de la garnison hollandaise du château de Bouillon; l'acte précise surtout la somme d'argent saisie en temps que caisse régimentaire! Il décédera en 1834, nanti du titre de Chevalier de l'Ordre ROYAL de la Légion d'Honneur (Nous ne sommes pas encore parvenus à retrouver son dossier au SHAT de Vincennes. Existe t'il vraiment?)
Ces BARNICH sont partout dans l'ancien Duché de Luxembourg, mais certains ont même émigré jusqu'à Metz!En 1839, lors de la ratification du Traité des XXIV articles, le Grand-Duché est une nouvelle fois déchiré: les quartiers allemands restent la propriété des Nassau, tandis que les quartiers romans passent au nouvel Etat Belge. Cet épisode, et la création d'une frontière coupant l'ancien Duché de part en part, va provoquer de nouveaux départs: 1850 voit partir de nombreuses familles luxembourgeoises vers le mirage américain.
Nous les retrouverons pour la plupart au Wisconsin. Plus tard, après la Guerre de Sécession (appellée là-bas "Guerre Civile"), ils s'installeront plus volontiers au Michigan et en Illinois.
La branche de Chassepierre, elle, comme toute la région de Florenville, voit de grands départs au tournant de 1900 vers le Rhode Island et le Massachussets. Là, ils se marieront aux Spirlet, Gauvin, Goffinet, et autres Richard, histoire de garder quelque chose du vieux pays! Pour garder leur langue, certains continueront vers le Québec, et d'autres provinces canadiennes.Finalement, bien que nous restions persuadés que tous les BARNICH soient parents, (comme la proximité géographique de leurs origines et l'emploi constant et répété des même prénoms semblent le confirmer), nous avons pu les regrouper dans quatre grandes branches, désignées par la région ou le village d'où les "têtes de lignées "sont originaires; ce sont successivement les branches d'Arlon, de Septfontaines, de Wiltz et de Hobscheidt. (Les trois dernières localités sont situées dans le Grand-Duché actuel)
Pour ne rien oublier, des BARNICH vivant actuellement en ILLINOIS sont en fait originaires d'Angleterre, de la région de Stoke-on-Trent; au début, j'avais cru que ces Barnich avaient un ancêtre "importé" du Continent, comme prisonnier fait lors des guerres napoléonniennes. En fait, on trouve déjà des Barnich en Angleterre vers 1600 ! Cela démolit évidemment l'idée d'une arrivée vers 1800...
Un BARNICH de Chicago, Terrence, vient lui d'une branche qui, venant de Slovénie/Croatie, émigra en Amérique entre les deux Guerres Mondiales.. Tout comme une autre branche arrivée peu avant 1900 : venant d'une petite ville à l'Est de Trieste (qui appartenait à l'époque à l'Autriche-Hongrie), John BARNICH s'installa d'abord en Pennsylvanie, puis migra vers Mason City, en IOWA....
Ceci est un bref résumé, la trace qu'a laissé notre famille, qui, génération après génération, a traversé les siècles pour finalement arriver à nous...
- Si vous voulez en savoir plus, contactez moi à l'adresse EMAIL suivante:
Hubert Barnich : envoyez vos remarques à mon EmailDe plus, si vous êtes concerné par ce nom de famille, tout apport de nouvelles informations sera le bienvenu: je suis d'accord pour partager le résultat de mes recherches avec tout qui serait prêt à collaborer!
Bien entendu, ma base de données comporte encore un grand nombre d'autres patronymes!
Vous pouvez découvrir ceux qui y sont contenus plus d'une fois à la page: Mes PatronymesRetour à la page de Hubert BARNICH
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The BARNICH's
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First, Barnich is a place name, i.e., that of a little village situated close to the border between Belgium and the Grand-Duchy of Luxembourg. This village (often called "Barnich-Autelbas" or even NiederElter, in Platte Deutsch -or Low Altar, in English!) is now part of the township of Arlon.
The first mention of BARNICH as a surname was found in a chart of the Convent of Clairefontaine. Dated 1388, this chart says that "the Ritter Heinrich von Barnich" donated some piece of land to the Convent "for his own soul's sake, and also for his wife's".
But, according to an analysis done by Mr Junger, a late teacher in Barnich-Autelbas primary school, this is an error made by father Goffinet, s.j.; this priest, not being a "Germanist" , mistook the word "Ritter" (a knight) for "Richter" (righter of wrongs!). Heinrich, an inhabitant of the hamlet of Barnich, would then have been an executer of the (decisions of) higher and lower justice of the Lord of Autel!The second earliest mention of the surname BARNICH appeared at the fires count of 1473 (Dénombrement des Feux). Johan Barnich is then a merchant burger of the City of Arlon.
- A "Count of fires" was a fiscal research to split the amount of the taxes amongst the inhabitants of a village, a region or a province. Often, this tax was not paid either by the nobles, or by the clergy... It was called "l'aide au Seigneur" (a financial help to the Lords of these times, Charles le Téméraire, -Charles the Bold- the Duke of Burgundy.)
- The merchant burger "Le bourgeois aforain" of a city was a merchant living outside the city walls. He had nevertheless the right to hold a stall at the city fair, or at market days.
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- In his book "Le Rhin", which "mops" all the letters written during his journeys along the Rhine River, Victor HUGO cites the story of a peculiar clergyman: "In 1471, Jean Barnich, Chaplain of Saint-Goar, kills his mistress, the countess of Katzenellenbogen, by way of the wine his gives her for communion; the bishop, the Elector of Cologne, as his bishop, put him "out of the Holly Church" (excommunication), and, as his prince, let him burn (kill him by fire)." ("Le Rhin", V.Hugo, T.2, p.22 et 49, ed. Ch.Pirot, St Cyr, 1996)
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- After that, in 1550, one finds BARNICH's in Beckerich; there were marriages cited at Eyschen, and so on... In Remich, a parish chronicle tells that Michel BARNICH had signed a contract for the business of "winding up the clocks of the castle".
In about 1635, when the fightings between France (Louis XIII-Richelieu) and the Imperial Troops (Belgium was then the property of the Habsbourg of Spain, German Emperors) were at their highest, the spanish monarchs had hired Polish and Croatian troops. These soldiers lived "on the country" for 3 years, behaving like "victors in conquered lands". In 1636, adding to the devastations of the war, the region suffered from a harsh epidemic of plague.
According to Tandel, a male child, who had been left behind by the croatian troops retreating in front of a french offensive, was adopted by the priest of Barnich, who gave him the name of his own parish. Not speaking French, German or the local dialect, the child fled and was taken in by a family of Stockem. When an adult, he founded there a family with the surname of Barnich; that fact is however contradicted by other writers, and by anterior mentions of this name in the local juridictions...
and it's yet a real possibility : some families with the same surname may live in the same village without having anything in common! One must also add that one found once, in the phone books of Vienna, names (with obvious croatian roots) spelled Barniç (the "ç" is pronounced "ch" making Barniç sound like Barnich!...)The first parish registers appeared around 1630/1650. From this era, one sees four BARNICH branches whose roots are found in a square region situated between the cities of Luxembourg, Wiltz, Bastogne and Arlon.
Around 1685-1690, when reading the parish registers of Arlon, one can count a high number of BARNICH, and amongst them, many burgers: Martin BARNICH is cited in a notarial record of 1693: this year, he made an offer (and won) to repair the framework of the roof of the Saint Martin's church in Arlon. In 1684, his brother Mathias was formally accepted as a burger of the city of Luxembourg. Evrard, a grand-son of Henry (brother of the formers) built a paper mill in Freylange/Heinsch (Arlon). Another is a miller in Nothomb-Tontelange, and another manages the mill in Hachy. The late Georges ZIMMER wrote that these Barnich from Arlon were also in the mills of Eyschen, Hobscheid and Oberpallen . (The mill -le Moulin Banal - was a place to levy taxes for the local Lords...)
The Septfontaine's Branch then "goes West", and clusters in the river Semois Valley: in 1693, one sees Henry BARNIG going to Chassepierre to marry Denise HACQUES. He shall nevertheless come back to Septfontaines at the end of this year to be the god-father of the first son of his brother Michel... In this region of the Semois river (where Florenville is the center city), our surname (of germanic roots) will take a french form, and became Barnique and Bernique... (More than one person had doubts regarding the family ties between BARNICH, BARNIQUE et BERNIQUE. The chain formed by the the birth, marriage and deaths records of the parish and civil registers of the region shows how real are the "filiations" and the ties to the BARNICH of Septfontaines...)
The great migrations began in 1750: even if one has not yet found where in Banat (an ancient province of the Austrian Empire) some of the BARNICH settled, we know that many families left in the direction of Southern Germany, and, using the river Danube as a highway, went to Vienna where the were assigned a plot of land in the recently freed region from the Turkish occupation. Largely, the BANAT is situated in a region comprising parts of today's Romania, Hungary and Bessarabia. Coincidence? A Barnich family from IOWA, whose ancestors immigrated from Hungary at the end of the last century, has for a long time exchanged letters with "Ukrainian relatives". In fact, thanks to a recently found envelope in Iowa, we have proven that it still exists a BARNICH descendancy in a place named "Veretskaïa Pass", a mountain road leading from Hungary to Ukrain through the Carpathes... Letters have even been exchanged in 1995!
After the big changes of the French Revolution, one finds a few BARNICH in Bouillon: Jean Baptiste Barnique has been an Officer of Napoléon's cavalry, (as a Second Lieutenant of the 6th Regiment of Cuirassiers, he was wounded during a cavalry charge at the Battle of Wagram in 1809 ; as he never fully recovered from this wound, he was discharged from active duty. But one can find his participation in the "Garde d'Honneur" of the city when the Emperor paid a visit to Bouillon in 1811). During the belgian uprising of 1830 (leading to the national independance from the Kingdom of the Netherlands), he was in command of the Garde Bourgeoise
These BARNICH may be found everywhere around the old Duchy of Luxembourg, yet, some of them went to the city of Metz, in the french Moselle Departement.When the Treaty of the XIV articles had been ratified in 1839, the Grand-Duchy was, again, split up in two entities: the german quarters, with Luxembourg city, stayed the personnal property of the Nassau Family (the King of the Netherlands was Willem van Orange-Nassau), whereas the roman quarters were given to the new belgian kingdom, to make for the Province of Luxembourg, with Arlon as the head city. The newly created boundary will cut the ancient Duchy from North to South, and will drive many inhabitants left resourceless to leave the country: the 1850' will see many luxembourger families leaving for the american dream.
Most of them will complete their journey in Wisconsin. Many of the young men will fight for the Union during the Civil War. Later, the new immigrants will settle in Michigan and Illinois
Like all the Florenville Region, the "Chassepierre Branch" will see lots of people packing for the USA at the turn of the Century. They were bound for Rhode Island and Massachussets, where their children will marry Spirlet, Gauvin, Goffinet and Richard, just to keep with French speaking people... To keep their language, some of them will even continue on to the Province of Québec.To put an end to this page, we stay firm in thinking that all the BARNICH are related : the four branches we have recorded have their origines in four places which are geographically close to each other. The same first names come up and keep coming up again in the four branches!
These four branches have been named after the city or village were they have their origines;
they are : the Arlon' Branch, the Septfontaines'Branch, the Wiltz'Branch and the Hobscheid'Branch. (These three last cities or villages are situated in the GRAND-DUCHY of Today)Not to be forgotten: some of the BARNISH which are now living in Illinois were originally from England, from the region around Stoke-on-Trent ; at the beginning, I thought these Barnich had an immigrant ancestor (in England) which had been "brought in" from the Continent as a prisonner caught during the Napoleonic wars. In fact, one can find this name BARNICH in England as early as 1600! So much for the "around 1800" arrival!...
Terrence BARNICH (and his sister Rochelle) from Chicago, is an offspring of a family coming from Croatia/Slovenia, which came in America between the two World Wars..
Another family did arrive a little while before 1900: John BARNICH, coming from a little city East of Trieste (which was at that time part of the Austrian-Hungarian Empire) settled first in Pennsylvania, then moved to Mason City, in Iowa....This is a short story tracing the path left by our family, which, one generation after another, went through the passing centuries till our times...
If you want to know more about that family'saga, drop me a message at my E-mail :
Hubert Barnich : envoyez vos remarques à mon EmailIf you are related to the Barnich family, all new information shall be very welcome! On the other hand, I am ready to share the results of many years of research with any person who would like to improve our knowledge of our family history.
Off course, my database contains many more other surnames!
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14 Fév 1997 -- Révisé le 26 Juin 02 . © Wallonia asbl
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(3Aug99)